Les amendements de Jean-Claude Sandrier pour ce dossier
9 interventions trouvées.
Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur Jean-Pierre Gorges, représentant unique de l'UMP, dont tous les bancs sont vides aujourd'hui, et que je tiens donc à saluer pour son courage
En effet, monsieur Chartier ! Je vous salue également Vous êtes donc deux députés UMP présents en séance.
Je vous salue également, monsieur le ministre, et ce n'est pas vous faire injure que de vous dire que vous n'avez pas compétence en matière d'économie et de budget. Je vous fais néanmoins confiance : je suis sûr que vous rapporterez avec exactitude à vos collègues ce qui se dit cet après-midi à l'Assemblée nationale ! (Sourires.) Avec cette de...
Vous vous glorifiez d'avoir évité le pire. C'est bien présomptueux ! Car outre la dégradation sans précédent du marché du travail, les banquiers ont déjà repris leurs mauvaises habitudes en matière de spéculation et de rémunérations, et la pompe du crédit n'est pas vraiment réamorcée. Que restera-t-il de votre politique quand vos plans de rela...
Je veux citer trois exemples précis dans ma circonscription et, à moins qu'il n'y règne un microclimat particulier et vous verrez tout à l'heure que ce n'est pas le cas , vous pouvez les généraliser et les multiplier. Soyons précis et concrets. En premier lieu, je citerai le cas d'une société de Vierzon, qui fabrique des presses hydraulique...
Enfin, troisième et dernier cas mais il pourrait y en avoir des centaines : le refus de la Société générale d'accorder le moindre prêt à une société qui investit 4 millions d'euros, dans laquelle les actionnaires apportent 30 % du capital, ce qui est considérable, avec vingt emplois à la clef. Après des discussions et des échanges, toutes les...
C'est la moitié du système bancaire et financier britannique qui a été nationalisée. Ce que nous proposons s'appuie sur quatre constats. D'abord, les banques ont failli et elles sont responsables de la crise. Certes, elles ne sont pas seules : il faut ajouter les gouvernements et toutes les institutions financières. Ensuite, elles ont reçu ma...
Les banques doivent devenir les acteurs d'un développement économique pérenne, au service de l'intérêt général, et faire en sorte que le crédit aujourd'hui mobilisé en faveur des activités financières soit réorienté vers l'investissement productif et la création d'emploi. Voilà ce qui, au fond, motive notre volonté de voir notre assemblée se sa...
Voilà deux objectifs fondamentaux si l'on souhaite sortir durablement de la crise et prévenir tout risque de rechute. Vous nous direz que le cadre européen ne nous permet pas d'envisager de telles réformes, mais nous vous répondrons que non seulement beaucoup peut déjà être fait en termes d'allocation sélective de crédits, à laquelle la Banque...