…ni tenir lieu de force de conviction.
Je ne suis pas d'accord avec le président Ayrault lorsqu'il parle de la colère de Jean-François Copé. Il s'agit plutôt de mortification face à la colère du Président de la République. On imagine bien la scène à l'Élysée : Jean-François Copé se tenant, tel un bourgeois de Calais en robe de bure, face à celui qui le tance sans pitié. Monsieur Karoutchi, vous savez ce qu'il en coûte de déplaire à Sa Majesté impériale... (Applaudissements sur les bancs des groupes GDR et SRC.)
Le fond de l'affaire, c'est que vous avez été battus, non pas parce qu'à la sortie de chaque côté de l'hémicycle se trouverait un rideau suffisamment ample pour cacher un nombre important de députés.