C'est, une fois encore, la semaine prétendument d'initiative parlementaire qui fait les frais du diktat élyséen, avec l'amputation, apparemment volontaire, du temps accordé à l'UMP. Il est vrai qu'un précédent avait été créé avec la discussion du collectif budgétaire.
De là à penser que l'UMP n'a rien à soumettre à la discussion, il n'y a qu'un pas – que je ne franchirai pas pour ne pas être désagréable avec nos collègues UMP qui auraient quelque chose à dire, mais qui sont obligés de se taire !
La réforme constitutionnelle de juillet 2008, tant vantée, se révèle de plus en plus clairement être un leurre destiné à masquer la dérive autoritaire du régime. Je retiens la docilité du groupe de l'UMP,…