Monsieur le président, une fois de plus les députés non inscrits sont traités avec le plus grand mépris. (Protestations sur plusieurs bancs du groupe UMP.) Contrairement à ce qui a cours au Sénat, les huit députés non inscrits ne disposent pas d'un quota de questions correspondant à leur nombre. De surcroît, nous sommes toujours invités à les poser en fin de séance, alors que la plupart de nos collègues ont déjà quitté l'hémicycle. Ce n'est pas digne de notre assemblée et je ne vois pas au nom de quoi nous serions des députés de seconde zone. Je souhaite donc que ma question soit inscrite à un moment plus opportun. (Applaudissements sur divers bancs).