Je veux seulement rappeler qu'il n'était pas neutre, en Afrique où j'ai effectué une partie de ma carrière, d'expliquer la PAC ou les accords de Lomé. Il faut se placer sous l'angle de la construction européenne et non pas réagir en tant que sous-ensemble international. Aujourd'hui, pour que la France soit lisible, il faut expliquer que, pour certaines de ses compétences, elle est d'abord européenne, avant d'être nationale.