M. Xavier Bertrand, Mme Roselyne Bachelot et moi-même l'avons dit devant l'Assemblée nationale comme devant le Sénat : pour le projet de loi de finances comme pour le PLFSS, il faut attendre la publication, par l'INSEE ou par d'autres organismes, de prévisions officielles. Alors seulement, Mme Christine Lagarde verra s'il faut rectifier. S'il le faut, nous rectifierons, sans tabou, le niveau des recettes dans l'un comme dans l'autre texte.