On pourrait ainsi réfléchir : à leurs droits en matière de salaires exorbitants ; à l'augmentation de leurs salaires alors que le pouvoir d'achat de leurs salariés diminue ; au non-paiement massif des heures supplémentaires – je rappelle que 74 % des heures supplémentaires ne font l'objet d'aucune contrepartie et que l'essentiel des recours devant les prud'hommes concernent justement le contentieux sur ce sujet – ; aux stock-options, que certains vendent pour réaliser des bénéfices alors que la société qu'ils dirigent est en difficulté – on pense, par exemple, au président d'EADS – ; …