Rien n'était donc caché sous le tapis. En juin 2007, par une lettre, le Premier ministre a saisi les syndicats qui n'ont pas souhaité – et je peux parfaitement le comprendre – y donner suite dans le cadre de la négociation sur l'assurance chômage. Nous avons eu une réunion de concertation au cours de laquelle certains ont explicitement indiqué qu'ils ne souhaitaient pas se saisir de ce sujet.