« Quand on s'ennuie, le corps souffre, la constitution s'altère, les maladies surviennent. Quand on est heureux, c'est tout le contraire : on donne de grands coups de pied dans les réverbères, on tire la queue des chats… » (Sourires.) La question du bonheur est – c'est bien naturel – au centre des préoccupations de tout un chacun.
Plus sérieusement, ce dont il est question dans les amendements que nous proposons, c'est la santé au travail et, pour la préserver, de l'articulation entre la loi et la négociation – je n'y insisterai pas, car cela a déjà été brillamment démontré. Il est bien évident toutefois, et j'espère que le Gouvernement nous suivra sur ce point, qu'on ne peut pas renvoyer ces questions de santé au travail à la négociation entre des parties dont on a vu tout à l'heure que le rapport n'est pas équilibré. Il faut que la loi joue son rôle à cet égard et garantisse les dispositions d'ordre public visant à préserver la santé des salariés au travail.