Sur cette question importante, nous tenons à défendre chacun notre amendement. Il est en effet question ici de santé au travail et de bien-être, ce qui nous ramène d'ailleurs au débat que notre ami et collègue Christian Eckert a évoqué à plusieurs reprises dans ses interventions, et notamment aux indicateurs de développement humain et à la question du bonheur au travail. M. Eckert a cité très à propos le mot de Joseph Stiglitz : « Travailler moins pour être plus heureux ».