Vous qui parlez tant du respect du pouvoir exécutif envers le pouvoir législatif, on vous a rappelé à quel point vous aviez peu de mémoire. Dans certains débats parlementaires, nous avons rappelé le peu d'estime que l'exécutif portait à l'autorité judiciaire, estime dont vous vous gargarisez aujourd'hui lorsque vous pensez que le pouvoir attaquerait les libertés.
Bien mauvais débat, bien mauvaise affaire, très à côté de la réalité. Avons-nous d'ailleurs vraiment besoin de déstabiliser une opposition qui se déstabilise en permanence toute seule ?