…l'accueillir. À notre grand étonnement, le chef de l'État, alors que nous discutons d'un texte supposé, à vos yeux, revaloriser le Parlement, j'y insiste, a montré dans quelle estime il tient les parlementaires : sans leur accorder le moindre entretien, ni même leur adresser un simple bonjour, il est monté à la tribune prononcer son discours électoral ; le tout pour un coût de 300 000 euros, aux frais du contribuable – chacun appréciera ainsi l'idée que vous vous faites d'un Parlement revalorisé. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC. – Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)