Cet amendement ne devrait pas poser de problème sur le fond.
La rédaction du deuxième alinéa de l'article 1er ne rend pas compte de la procédure suivie depuis le Grenelle de l'environnement. Chacun ici s'est félicité de la première phase du Grenelle, notamment celle qui a permis de réunir, dans les tables rondes et les comités opérationnels, l'ensemble des acteurs, mais aussi les élus. Il conviendrait de respecter le quatrième pilier du développement durable, celui de la gouvernance.
Il ne s'agit pas de siffler la fin de la partie, l'État élaborant la stratégie nationale, mais de permettre la poursuite d'un dialogue constructif entre les cinq parties et de pérenniser la logique de consensus expérimentée dans le cadre du Grenelle.