Ils sont minoritaires, c'est vrai. Mais la question n'est pas illégitime, compte tenu des préoccupations actuelles des Français.
D'autres, en revanche, et c'est notre cas, estiment que la situation actuelle est une chance. Je regrette, du reste, qu'hier, le ministre d'État n'ait pas fait le lien entre les événements économiques et le texte que nous examinons. Quoi qu'il en soit, il ne faut pas que ce projet de loi passe en catimini et soit examiné à la va-vite, au prétexte que la crise internationale est grave et qu'elle pourrait réduire nos ambitions.