Je ne puis me prononcer sur chaque projet, monsieur Pupponi, mais l'État a bien l'intention d'assumer ses responsabilités vis-à-vis de l'ANRU, en dépit des problèmes de gestion qui peuvent apparaître.
Les quelque 200 millions d'euros prévus par le plan de relance pour l'ANRU doperont dès 2009 ses capacités d'action.