Que penser, à ce titre, de la destruction d'une grande partie de la réserve naturelle de vingt-sept kilomètres carrés, sur laquelle doit être implanté ce projet ?
Enfin, le contexte social et politique d'Abou Dabi soulève la question du choix des oeuvres qui composeront le parcours du musée. En témoigne la réponse de notre rapporteur en commission des affaires étrangères, confirmant que l'accord des organes de direction du musée universel est prévu – donc requis – avant qu'on puisse y présenter des oeuvres. Par conséquent, rien ne garantit qu'elle pourront toutes y être exposées.