Cet amendement nous tient particulièrement à coeur. Nous sommes opposés à la remise en cause de l'essence même de la participation, à savoir l'indisponibilité des fonds pendant une période de cinq ans. Comme nous l'avons indiqué au cours de la discussion, la suppression de ce principe va poser des difficultés pour la préservation des fonds propres des entreprises, notamment des PME, au surplus dans le contexte actuel.