Didier Mathus a donc dit l'essentiel sur notre inquiétude au sujet de l'avenir du capital de l'audiovisuel extérieur de la France.
Voilà trois ans que règne une véritable pagaille autour de l'audiovisuel extérieur de la France, et bon nombre de nos collègues de la majorité ne diraient pas autre chose – je pense en particulier à François Rochebloine. Après la vision défendue par Jacques Chirac, qui prônait un système mixte alliant le service public et TF1 au bénéfice de cette dernière, nous avons eu droit à celle du député Bernard Brochand, lequel a si bien vanté les mérites de son projet que François Rochebloine, dont les propositions avaient pourtant recueilli l'unanimité, s'est vu mis sur la touche.