Défavorable.
Monsieur Paul, la SNCF appartient aux Français, qui, par leurs impôts, investissent dans l'entreprise. Il est donc logique que, lorsqu'elle dégage des dividendes, ils reviennent à l'État – qui décide du montant qu'elle lui demande de verser – et, donc, aux Français.
Enfin, je salue votre imagination et l'inventivité de votre gage. (Sourires.)
(L'amendement n° 854 n'est pas adopté.)