Or les études paysagères, dans un SCOT, permettent de mettre en valeur, par avance, cet engagement à ne pas abîmer le paysage. C'est un point important dans la concertation avec la population et les différents acteurs.
Nous reprenons donc l'amendement de M. Martial Saddier, car il va dans le sens d'une meilleure compréhension des propositions de développement et d'aménagement des schémas de cohérence territoriale, qui sont souvent réalisés pour vingt ans ; il ne s'agit pas de tout décider, mais de dire qu'on peut s'appuyer sur une étude paysagère pour construire ensuite ce que le SCOT a inscrit.