Selon M. Huchon, président de la région Île-de-France, la densité du réseau en Île-de-France et l'existence d'interconnexions ne permettraient pas non plus de définir des priorités. Il semble donc que derrière les arguments de l'opposition se cache un même refus : celui de définir des priorités, ici pour le transport scolaire, là pour d'autres domaines. Or la desserte prioritaire est précisément au coeur du projet de loi.