La commission a repoussé l'amendement. Tout en reconnaissant les spécificités du transport scolaire, elle a considéré qu'il était impossible d'exclure du dispositif de la loi un pan essentiel du secteur des transports terrestres, à moins de risquer une rupture d'égalité entre les citoyens et de priver certains d'entre eux des droits nouveaux apportés par ce texte.