C'est ce que je vais faire.
J'aimerais bien, monsieur Brottes, vous qui avez suivi tous les débats au Sénat, que vous m'expliquiez comment il serait possible d'empêcher une grève émotionnelle, par exemple lorsqu'un agent, après que l'un de ses collègues a été victime de violences, décide d'arrêter aussitôt le travail : il n'existe aucun moyen juridique d'empêcher une telle grève.