Se pose enfin la question du mode de scrutin. Nous l'avons dit avec sincérité : nous ne toucherons pas aux modes de scrutin. Que ce soit pour le Sénat ou pour éventuelle instauration de la proportionnelle, le Président de la République a d'entrée de jeu légitimement précisé qu'il n'y avait pas de consensus sur cette question.
Je ne souscris pas à l'analyse de François Bayrou qui fait du changement de scrutin la condition sine qua non du renforcement du Parlement.