Le Premier ministre a demandé que soient respectés les arguments des uns et des autres. Nous y sommes prêts. Il a dit aussi que, le moment venu, chacun sera placé devant ses responsabilités. C'est vrai pour l'opposition. C'est vrai pour la majorité. S'il n'y a pas d'accord, la responsabilité en incombera tout autant aux uns qu'aux autres. Nous n'accepterons pas, pour ce qui nous concerne, d'être désignés comme les seuls empêcheurs de moderniser. (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)