J'ai bien écouté les arguments de Mme la ministre et je partage sa volonté d'appliquer au secteur un traitement inégalitaire, pour tenir compte des conditions de souffrance qu'il connaît.
Je comprends sa prudence, guidée par le souci de respecter la procédure. Ses derniers mots, au-delà du plaisir personnel qu'ils m'ont procuré, sont porteurs d'espoir.
Je continuerai de suivre le dossier. S'il aboutissait, madame la ministre, vous seriez la bienvenue pour inaugurer l'IRM de Denain. (Sourires.)