Les intentions du Gouvernement sont compréhensibles. Toutefois, les communes et les départements ont été nombreux à souffrir de la canicule de 2003. Reconnaissons que les désordres provenant de périodes de sécheresse, spécialement en terrains argileux, peuvent se manifester avec retard. À l'époque, je l'ai précisé lors de questions d'actualité, les demandes régulièrement formulées auprès des préfectures ont été traitées de façon quelque peu dilatoire. J'espère qu'à l'avenir, si un réel problème se pose, les réponses seront données dans le délai de dix-huit mois.