Mais, monsieur Muzeau, ce texte n'est une insulte pour personne. Au contraire, c'est une opportunité qui permet de répondre à un besoin et qui permet de laisser les élus locaux décider.
Monsieur le secrétaire d'État, je vous remercie pour l'écoute dont vous avez fait preuve, ainsi que vos services, auprès des députés de la majorité.
Comme d'autres l'ont fait avant moi, je veux aussi remercier les services de l'Assemblée nationale.
Je remercie également M. Patrick Ollier, ministre chargé des relations avec le Parlement, pour son écoute et son action, forte de son expérience – et je sais de quoi je parle car j'ai travaillé avec lui durant de nombreuses années.
Mes chers collègues, je n'ai pu résister à l'envie de prendre une dernière fois la parole car ce moment constitue pour moi l'ultime occasion de vous dire, en ce lieu, toute ma fierté d'avoir légiféré dans l'intérêt général de nos concitoyens…