Mes chers collègues, après cette deux-cent-quatre-vingt-septième séance de questions au Gouvernement, la dernière de la législature – quelque peu passionnée –, et à quelques heures de l'interruption de nos travaux, je tiens à vous dire que présider notre assemblée au cours de cette treizième législature fut un grand honneur.
Nos échanges ont été parfois vifs, toujours nourris, le plus souvent fructueux. La vigueur de nos débats peut apparaître excessive, mais elle est la marque de la démocratie vivante, quelquefois passionnée, à laquelle nous sommes tous attachés.
Les campagnes électorales vont maintenant permettre à chacun de défendre, devant nos compatriotes, ses convictions.
Je remercie le Premier ministre, les membres du Gouvernement, et vous tous, mes chers collègues,…