Vous n'avez pas encore de remords, mais vous en aurez ! Nous avons des regrets, mais nous ne pouvons nous y arrêter. Pourquoi ? Souvenons-nous de la situation à la fin de l'été, au mois de septembre : une instabilité de la zone euro, une menace puissante sur la Grèce, des risques de contagion, des turbulences très sévères sur les marchés qui menaçaient même, pour la plupart des membres de la zone euro, leur capacité d'accès au financement des politiques publiques. Que de chemin parcouru depuis lors, que d'énergie, que de travail, sous l'autorité du Président de la République, du Premier ministre…