Vous avez souhaité rationaliser encore plus l'organisation de Météo-France dans le cadre du COP 2012-2016 alors que le précédent contrat d'objectifs avait déjà entraîné une restructuration du réseau ainsi que la fermeture d'un certain nombre de stations météo. Envisagez-vous qu'il en soit encore ainsi ? Si oui, à quelle hauteur et à quelles conditions ?
En tant que maire, j'ai mesuré encore voilà trois semaines l'intérêt qu'il y a à bénéficier d'un centre météorologique de proximité – en l'occurrence, celui de Pau-Uzein – tant l'écart entre prévisions régionales et locales est parfois grand. Une telle proximité me paraît être la meilleure garantie contre les différents aléas climatiques, qui ne feront d'ailleurs qu'augmenter.