Cette inutilité nous coûte très cher. Nous sommes aujourd'hui le 1er mars, je l'ai déjà dit et il me semble qu'il y a consensus sur ce point, sur tous les bancs de l'Assemblée ; or la session s'arrêtera le 6 mars, c'est-à-dire le jour où nous allons procéder au vote final de ce texte. Celui-ci ne se transformera donc jamais en loi. Nous sommes des législateurs ; nous coûtons de l'argent pour faire la loi ; et aujourd'hui nous coûtons de l'argent pour ne rien faire du tout.