S'ils décident de confier des enfants à des familles qui vivent en France, il est évident que c'est parce qu'ils considèrent que ces enfants doivent vivre avec les familles qui les recueillent pour vivre dans des conditions dignes.
Or que se passe-t-il le plus souvent ? Ces enfants ont été confiés par des tribunaux à des familles qui vivent en France sans être à même, avant de longs mois, de les rejoindre. Cette situation crée des difficultés sans nom, comme l'ont montré les auditions des responsables des ministères concernés.