Monsieur le ministre, vous ne voulez pas mettre à contribution les riches, vous voulez plumer les pauvres (Protestations sur les bancs du groupe UMP) parce qu'ils sont plus nombreux. C'est ce que vous faites depuis dix ans et ces cris d'orfraie ne sont que la confirmation de vos comportements condamnables.
Votre texte a deux parties, comme Janus. Il y a le soutien à ce que vous appelez délicatement les sports mécaniques, c'est-à-dire la Formule 1, et le reste, plus acceptable, qui représente une petite avancée sur le dopage – laquelle n'efface pas la réduction des crédits.
Confronté à ce dilemme, comme il est écrit dans les textes sacrés ; « dans le doute, abstiens-toi ».