Nous pensons, nous, qu'il faut aider la Grèce pour des raisons morales, parce qu'elle fait partie de la famille européenne et de la famille de l'euro. C'est aussi une mission économique et politique car il y a un risque de contamination et la crise pourrait s'étendre demain au Portugal, à l'Espagne ou à d'autres pays. C'est donc l'intérêt de la Grèce, de la France et de l'Europe. (« Très bien ! » sur plusieurs bancs du groupe UMP.)
Dans ce contexte, il y a un deuxième élément pour éviter que l'épisode grec ne se reproduise, le mécanisme européen de stabilité.