Je vous écoute, chers collègues de l'opposition, et c'est comme si nous vivions les volets fermés. Non ! Ouvrez les fenêtres et les yeux sur le monde ! Respirez large et ne restez pas fermés sur vous-mêmes ! («Très bien ! » sur les bancs du groupe NC et sur quelques bancs du groupe UMP.)
Je le dis en m'adressant peut-être pour la dernière fois à Valérie Pécresse, à Gilles Carrez et à Charles de Courson dont je me sens ici, pour de nombreuses raisons, l'un des plus proches : que ce débat ne soit pas un débat français, refermé sur lui-même. Que le débat, à propos de cette loi ou d'une autre, s'ouvre très largement ! (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.)