En somme, monsieur le président, vous démontrez que chacun est libre de signer des accords qu'il ne respectera pas ; je viens d'ailleurs de lire dans la presse que d'autres décisions prises pendant la présente législature ne seraient pas davantage mises en cause : le retour de la France dans le commandement intégré de l'OTAN, le service minimum dans les transports ou, comme nous venons de le voir, la fixation à 1,3 million d'euros du seuil de déclenchement de l'impôt sur la fortune.