Cela contribue aussi à briser l'image d'Épinal d'une nature cristallisée, indemne de toute intervention humaine, d'une nature qui serait, en quelque sorte, naturalisée, qu'il ne faudrait pas violer. Cette image a pour corollaire l'idée que la préservation de la « biodiversité ordinaire » passe par la sanctuarisation de toujours plus d'espaces.