Monsieur le président, j'ai tout à l'heure été interpellé par notre collègue Jérôme Chartier lorsque j'intervenais, au nom du Front de gauche, au titre de l'explication de vote sur le projet de loi de finances rectificative.
Curieusement, en me répondant, Jérôme Chartier n'a parlé que de Jean-Marc Ayrault et de François Hollande. Je me demande s'il n'était pas sous hypnose ou s'il n'était pas encore sorti de la tranche sommeil de l'après-midi.