M. Baroin étant toujours retenu à Bruxelles, j'ai le plaisir de répondre à votre question.
Cet accord est un accord à la fois de solidarité et de discipline. C'est un devoir moral : nous ne laissons pas sur le bord du chemin le plus fragile. C'est un devoir politique : nous défendons l'Europe et l'euro. C'est enfin un devoir économique : nous évitons la contagion.
Bien sûr, vous l'avez rappelé, nous pensons aux souffrances du peuple grec. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)