Madame la députée, pour nous, la première des injustices, c'est le chômage. (Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)
C'est pour cela que le Président de la République a souhaité, à quelques semaines des élections présidentielles, que le Parlement, dont la légitimité démocratique est tout aussi grande que celle du peuple, puisse adopter une grande réforme qui améliore la compétitivité de nos entreprises.