Je reconnais bien volontiers, cependant, qu'il nous reste du travail. La prévention ne relève pas forcément du rôle des banques, mais plutôt des opérateurs et des structures de prise en charge. Beaucoup d'argent est dédié à cette mission mais il ressort du rapport que nous avons rédigé avec Mme Filippetti qu'il faut améliorer cette prise en charge.
(L'amendement n° 443 est adopté.)