Ensuite, la pérennisation des places hivernales, c'est exactement ce que nous faisons depuis cinq ans. Si nous avons décidé de stopper cette politique, c'est que nous sommes intimement convaincus que la question n'est pas d'augmenter encore et toujours le nombre de places hivernales ou de places pérennisées à l'année. Cette politique-là a été un échec. Il nous faut aujourd'hui changer de logique, en commençant par accélérer les sorties vers le logement. C'est ce que nous faisons ; c'est comme cela que nous redonnerons de la fluidité au dispositif. Au contraire, ouvrir toujours plus de places, c'est remplir le tonneau des Danaïdes.