Il n'y a donc pas lieu de s'inquiéter pour la deuxième partie de l'année, toutes les analyses des économistes nous rejoignent sur ce point. Le Premier ministre a évoqué tout à l'heure un acquis de croissance de 0,3 %, ce qui donnera une croissance minimum de 0,5 % et probablement un taux de croissance supérieur pour l'année 2012.
La situation est donc loin d'être mauvaise. Il a été très justement rappelé que l'Allemagne, elle, connaîtra peut-être une phase de récession. On peut toutefois considérer qu'elle sera brève et même qu'elle n'aura pas lieu : les chiffres de consommation en France laissent augurer de résultats similaires outre Rhin.