Nous avons été plusieurs, entre hier soir et aujourd'hui, à vous demander de revenir sur votre décision de mettre en place la TVA sociale. Vous êtes restés sourds à nos arguments, alors que, j'en suis certaine, beaucoup d'entre vous savent que cet impôt est le plus injuste qui soit. Présenter une réforme aussi grave en toute fin de législature est une faute démocratique.
Depuis cinq ans, notre commerce extérieur bat des records de déficit – 69 milliards en 2011 –, notre industrie a perdu plus de 400 000 emplois sans que le Président ne se bouge.