Personne ne comprend cette mesure pour deux raisons, madame la ministre.
C'est d'abord une faute politique. Qui peut croire, à moins de soixante-dix jours de l'élection présidentielle, qu'une réforme censée s'appliquer au mois d'octobre, donc plusieurs mois après les échéances électorales, ait un sens quelconque ? C'est simplement la marque d'un désarroi, d'une certaine panique…