Prenons l'exemple malheureux de 2002. Si la majorité d'alors avait été aussi honnête et lucide, elle aurait voté un collectif en début d'année plutôt que d'attendre le mois de juin, laissant la nouvelle majorité face à un budget complètement artificiel, où toutes les dépenses étaient sous-évaluées et toutes les recettes surestimées.