Sur ce sujet, la France a obtenu au G 20 l'expression d'un soutien de ses partenaires, y compris de la part du Président américain, ce qui est une avancée sans précédent. J'ai encore en mémoire la phrase qu'il a prononcée : « Il faut que le secteur financier apporte sa contribution à la résorption des crises ». Quand on connaît la culture anglo-saxonne, on voit l'avancée obtenue sous la présidence française.
Il reste du chemin à parcourir, notamment vis-à-vis de nos amis anglo-saxons.