Nous, créanciers de la Grèce, nous sommes engagés dans une opération conjointe d'allégement de la dette grecque, à laquelle le plus grand nombre de créanciers, publics comme privés, doivent désormais participer.
En parallèle, le gouvernement grec doit poursuivre son engagement dans la mise en oeuvre des réformes. Le Parlement grec a approuvé hier les éléments du deuxième programme de redressement, avec notamment la réforme du marché du travail et des retraites. C'est une avancée importante, et les deux principales formations politiques, à droite et à gauche, ont approuvé cette demande de réforme de structure, ce qui permettra – c'est en tout cas la position que je défendrai au nom de la France mercredi prochain lors de la réunion de l'Eurogroupe – d'accompagner un nouveau programme de soutien à la Grèce.