Nous sommes conscients de ces contraintes, mais le rythme des réformes ne saurait se contenter de la parenthèse liée à l'élection présidentielle, et c'est la raison pour laquelle je veux croire que notre débat sera de qualité.
Je souhaite également évoquer les dernières avancées réalisées dans le cadre des négociations avec la Grèce.
Aux côtés de l'Allemagne, la France a réaffirmé sa grande détermination à accompagner la Grèce durant ses réformes, certes difficiles pour la population – nous l'avons encore vu hier –, mais urgentes et nécessaires. Ce sont des réformes qui engagent le pays dans des changements en profondeur.